Ça commence par une longue ballade... comme qui dirait un golf...
Comme
d'hab, au printemps, les arbustes se la jouent...
Quelques
pâquerettes surgissent de nulle part
Les lianes reprennent vie.
Et voila nos fiers marcheurs...
......... le printemps...... les shorts.... Jolies gambettes, non ???
Du calme,
Zee, du calme...
Passent les
amandiers...
... les mas oubliés...
... les mares sans canards....
Euh... les herbes... (oublié le nom...)
... la seule vue de la falaise... pourtant balaise...
On s'est déjà vu, non ???
Oh, le lac... "Oh temps, suspend ton vol..."
" .... et vous, heures propices..."
"... suspendez votre cours..."
Ouai... mais l'isolement n'a pas duré...
"Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?"
Madame la
première dame...
Et Monsieur le président... un triple
axel ???
Monique, de retour de
Mada nous apprend à
pécher...
"C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent; où le soleil de la montagne fière,
Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons."
Une très belle ballade....
petit cours de botanique : les pâqurettes sont en fait des marguerites, les lianes des pervenches et les herbes ...euh... sont des vivaces tubéreuses du nom d'Asphodèles. A part ça, le mas est bien un mas. Jolie vues. Laurent
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